Du nouveau dans l'extinction de l'éclairage public

Le dispositif d'extinction de l'éclairage public va connaître un renouvellement au cours du mois d'octobre. La consultation menée auprès des Albigeois cet été nous a permis d'ajuster le dispositif en fonction de vos besoins. Les horaires d’extinction et le périmètre de la zone hypercentre sont donc redéfinis.
Eclairage public

Du 5 juin au 5 juillet, nous vous avons consulté pour bénéficier de votre retour d'expérience concernant le dispositif d'extinction de l'éclairage public. Après un examen des courriers reçus, nous avons pris en compte vos retours. Les amplitudes horaires seront donc réajustées et le périmètre sera élargi d'ici la fin du mois d'octobre.

Pour rappel, depuis fin 2022, nous expérimentons une extinction partielle de l'éclairage public dans le cadre de la réduction des dépenses publiques. Différentes modalités horaires sont définies selon les quatre zones identifiées : l'hypercentre, la zone résidentielle, la zone d'activités économiques et la zone sans extinction.

"Si le principe d'extinction partielle de l'éclairage public et les objectifs de sobriété énergétique et d'économie sont bien compris et ne sont pas remis en cause, des ajustements ont été néanmoins souhaités sur l'amplitude horaire pour plus de la moitié des répondants" indique le maire Stéphanie Guiraud-Chaumeil. Des questions de sécurité, les activités de loisirs et les sorties justifient cette extinction plus tardive.

Pour donner suite à vos remarques, les décisions suivantes ont été prises :

  • Extension du secteur "hyper-centre" en intégrant le parking du Bondidou et le secteur compris entre les rues de la République, le boulevard Soult, le boulevard Valmy et l'avenue du colonel Teyssier
  • Zone résidentielle : extinction à 1h en été (juin à mi-septembre) et à minuit en hiver
  • L'éclairage en hypercentre est avancé à 5h
  • L'éclairage des zones d'activités économiques est inchangé.

Depuis la mise en place de ce dispositif, nous avons économisé 1 500 000kWh, ce qui représenterait environ 320 000 € au tarif réglementé actuel (tarif au 1er août 2023). En prenant en considération les consommations de juin et janvier des trois dernières années, nous constatons une baisse d'au minimum 40%. Ces chiffres nous confortent donc dans l'efficacité de cette démarche.