Voyage itinérant au féminin

La Randonnée cyclotouriste «Voyage Itinérant au Féminin» Albi / Saint Affrique ce sont 90 cyclotouristes femmes, en autonomie, qui partiront le 2 avril d'Albi pour Saint Affrique en Aveyron et qui reviendront à Albi le 3 avril.
Depuis 2003, chaque année, un « Voyage Itinérant au Féminin » réunit les cyclotouristes femmes de la Région Occitanie, sur une randonnée de 2 jours en autonomie (avec sacoches, sans voitures suiveuses) . Après Caussade, Saint Gaudens, Cahors, Carcassonne en 2018 et Narbonne en 2019, Albi à été retenue comme ville de départ pour 2020 , la manifestation à été annulée deux années de suite pour cause de COVID ; le départ d’Albi se fera donc le 2 avril 2022.

Le fil conducteur de cette randonnée entre Albi et Saint Affrique sera la rivière Tarn : Ambialet, Saint Sernin sur Rance, Combret à l’aller, Saint Izaire, Brousse le Château Villeneuve sur Tarn, Trébas, Lincou au retour.

Encore une occasion, grâce au Cyclo Randonneur Albigeois, délégué par le Comité Régional (COREG ) Occitanie, de prouver qu’Albi est une bonne base de départ pour pratiquer la petite reine même au féminin. Les 90 participantes sont réparties en groupes de 10 encadrées par un capitaine de route, une pédaleuse locale et un serre file qui surveille les arrières. Les groupes roulent de façon espacée afin de gêner le moins possible la circulation.

Contact presse :
Marie Buffière / Cyclo Randonneur Albigeois
tel 06 11 59 61 43 buffiere.m@gmail.com

L’organisation de ces voyages annuels repose sur un club organisateur délégué par le COREG Occitanie.

Bien entendu, chaque année un club se porte volontaire et ainsi le tour d’Occitanie pourra être fait. Les quelques 90 participantes sont réparties en groupe de 10 encadrées par un capitaine de route, une pédaleuse locale et un serre file qui surveille les arrières. Pas question d’abandonner quelqu’un sur la route. Les groupes roulent de façon espacée afin de gêner le moins possible la circulation.
Deux visites plus approfondies sont prévues : l’une à l’aller à Combret la ville rouge et l’autre au retour à Brousse et son château.
Mais, en plus de cet objectif culturel, ces organisations en autonomie incitent les dames à se pencher sur la technique, la mécanique, la cartographie, domaines réservés en général à leur ami, compagnon, mari. Ici plus d’appel au secours, il faut mettre les mains dans le cambouis. Bien entendu, la plupart des clubs par des stages en amont aident à affronter ces problèmes.
Cette cohabitation pendant deux jours permet aussi des échanges surtout pour les licenciées très esseulées parfois dans des clubs majoritairement masculins. Que ce soit cuissards, jolies tenues difficiles à dénicher, selles de vélo, chaussures, tout y passe.
Quant au rythme de notre progression je n’en ai même pas parlé puisque tout un chacun aura compris que l’objectif n’étant pas la place d’arrivée, chaque dame adoptera son allure préférée.